Semestre Joy à Yokohama

Ophélie Atindegla étudiante en M2 lors de son départ est partie 1 semestre à Yokohama par le biais de JOY.

Sakuragicho, Yokohama

Pourquoi le Japon ? 

J’ai toujours eu une attirance pour le Japon (bien évidemment initiée par le club Do’ et les films de samouraïs…) et en grandissant j’ai eu envie de me rendre compte par moi même du décalage histoire/modernité au Japon dont tout le monde me parlait. Lors de mes recherches d’université après mon BTS, l’UPEC s’est imposée à moi parce que l’université possédait un échange avec le Japon. Le programme de l’échange était aussi un atout majeur: axé sur le management interculturel, il permettait aussi de choisi des cours de langue, cultures ou un peu plus poussés comme le management de production ou bien le management des ressources humaines. L’ensemble des cours est en anglais avec parfois des moments en japonais donc il est préférable d’en avoir les bases avant de partir.

L’université de Yokohama

J’ai été acceptée dans le programme JOY, au sein de l’université de Yokohama, en banlieue de Tokyo. C’est une grande ville (4 fois Paris intra-muros), très agréable à vivre. Pour le semestre de printemps, les cours se déroulent d’avril à juillet et l’on peut garder le logement attribué par l’université jusqu’à fin septembre.

L’intégration

J’ai été très bien accueillie à YNU, que ce soit par la prévenance des services de l’université avant mon arrivée au Japon ou bien dans les premiers jours où tout est un peu chaotique vu le nombre de formalités à accomplir. L’université nous attribue un tuteur, qui s’occupe dès le premier jour de nous emmener faire les formalités administratives, puis les formalités à YNU. De la même manière, ils sont très disponibles pour nous aider sur des sujets plus pratiques (téléphone portable, électroménager…).

De nombreuses rencontres sont organisées par les deux clubs dédiés aux étudiants internationaux (voyages, sorties, visites…) et l’on s’y fait très vite des amis quand on fait l’effort de s’ouvrir. La langue n’est pas vraiment un problème quand on y met de la bonne volonté: deux étudiants sont arrivés en ne parlant pas un mot de japonais et faisaient partie des étrangers les plus populaires (en sachant que leur anglais et celui de leurs amis japonais n’était pas extraordinaire non plus).

Je suppose que la plus grande ressource est la communauté d’étudiants en échange eux-même: après Fukushima, le nombre d’étudiants volontaires a baissé et nous nous sommes tous retrouvés dans la même résidence ce qui nous a permis de resserrer les rangs et de créer un fort sentiment de solidarité.

Mon conseil est de profiter au maximum de cette expérience en ne refusant aucune opportunité de découvrir de nouvelles choses!

Pour infos

J’ai payé mon billet d’avion 900€ en prenant British Airways.

Voir aussi: Semestre d’étude à Puebla

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